40 millions de mètres cubes ! C’est le volume de sédiments extraits chaque année dans les ports français pour éviter leur envasement, une ressource non valorisée et dont la gestion fragilise les écosystèmes marins. C’est aussi l’équivalent de la consommation annuelle de béton en France, une industrie particulièrement polluante et soumise, comme tous les secteurs, à la pression des impératifs de décarbonation.
Notre client a mis au point un procédé génial, inspiré par la diagenèse, permettant de transformer ces sédiments portuaires en un matériau minéral innovant, écologique et esthétique. Sans cuisson à haute température, sans ajout de résine ou de ciment, pour une empreinte carbone quatre fois inférieure à celle de la terre cuite et douze fois inférieure à celle du ciment. Bref, une révolution bas carbone pour le bâtiment !
Déjà plébiscité dans les univers du design et de l’aménagement intérieur, ce matériau a désormais vocation à passer à l’échelle industrielle. Prochaine étape : industrialiser le procédé et réinventer les matériaux de construction en réduisant à la fois la consommation de ressources finies et la consommation énergétique de leur fabrication.
C’est justement pour contribuer à cette ambition majeure que nous recherchons pour cette PME bretonne un.e ingénieur.e de recherche spécialiste des matériaux argileux.
Votre job : structurer, fiabiliser et accompagner l’industrialisation d’un procédé bas carbone ambitieux, en vous appuyant sur votre expertise des matériaux argileux.
Vos missions :
Votre profil :
Vous souhaitez mettre votre expertise scientifique au service d’une solution industrielle concrète, utile et à fort impact environnemental ? Faites-nous signe !